En 1957, Miró vient travailler à des gravures dans un atelier parisien que viennent d’ouvrir les jeunes Aldo Crommelynck et Robert Dutrou, rue de Plaisance. Louis Broder lui a proposé d’illustrer un poème de René Crevel, La Bague d’aurore ; Miró réalise alors une superbe suite, « une des plus merveilleuses » dira Jacques Dupin, « une guirlande brillante tressée à la gloire du poète ».
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