J’aurais aimé faire une chronique croisée de Kamasi (Washington) et de Shabaka (Hutchings )- mais comme le premier me tombe des oreilles, c’est du second qu’on va surligner quelques attraits. Le saxophone ténor de Shabaka n'apparaît qu'une seule fois sur cet album ; une dizaine de minutes avant la fin. L’idée de changer de trajectoire se posant là pour renouveler le propos.
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