Au lieu des simples conditions de survie (ou non) traditionnellement liées au (sous-) genre post-apocalyptique, on assiste en ce moment dans la science-fiction à une captivante floraison de modalités concrètes de reconstruction, en « faisant avec » mais en essayant dans la mesure du possible de « bâtir autrement ». C’est le propos du “Premier jour de paix” d’Elisa Beiram.
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