A l’écoute du troisième album d’Altin Gün, on peut se souvenir du film éponyme d’Yilmaz Güney (La Permission), au cours duquel cinq prisonniers connaissent des aventures diverses lors d’une sortie de quelques heures de leur geôle. Si c’est la vision de l’année confino-covidée, c’est assez troublant, mais ça fonctionne plutôt bien à tracer une piste électro-pop 80’s en brodant sur des canevas psyché-anatoliens.
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