On sort du dernier Mandico assez atterré, confus et déboussolé de s’être pris dans les rétines une Conann qui fait plus fort que le Salo et les 120 journées de Sodome de Pasolini - carnage à tous les étages - et ça fait un choc de retrouver mêlés le Cocteau d’Orphée et le Jodorowsky d’El Topo qui œuvrent à l’infra-noir absolu pour secouer les consciences au rythme de l’actualité du monde contemporain. Décillé comme toujours et pop-maléfique pour le fun !
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