Johann le Guillerm, imperceptiblement…
Imperçois-tu le son que je ne vois pas ?
Acoustiqueras-tu l’image que je ne perçois pas ?
Frêles mouvements invisibles
Détraçons-nous de nos empreintes
Empreintons-nous des traces oubliées
Et revoyons-nous après longtemps.
Après l’instant que nous dépasserons ensemble
Pour mieux percer, voir, que le monde bouge
Sans cesse, toujours, imperceptiblement dans tout nos tremblements…
Poème et images de Richard Maniere le 25/11/19
Les Imperceptibles sont à apercevoir dans la salle Claire de la Maison des Métallos jusqu’au 28 novembre.